Le soulagement qui peut advenir en cette période est le vaccin contre le COVID-19. Malheureusement, ce vaccin annoncé à fort tapage médiatique n’a pas pu combler les inquiétudes. Il laisse entrevoir plus de risques qu’on pourrait imaginer. Cet article vous plonge dans l’actualité qui accompagne l’AstraZénéka, le vaccin inventé pour lutter contre le COVID-19.
Les divergences notées entrent le gouvernement à travers la haute autorité de Santé et l’académie de médecine.
L’académie, de la médecine qui est retissent au départ a fini par adopté le vaccin AstraZénéka. Mais si des divergences existent encore, c’est dû au délai d’administration des deux doses retenues. Cliquez sur le lien du site pour découvrir plus d’information.
Pour le gouvernement français et la haute Autorité de Santé, il faut privilégier les personnes du troisième âge. Alors que l’académie de la santé observe que c’est du gaspillage. Car, selon elle, le moment est critique et il n’est pas question de laisser les moins de 55 ans.
Les effets secondaires issus de l’AstraZénéka
Les statistiques montrent que les effets secondaires issus de l’Astrazénéka sont énormes. En effet sur 1 430 000 injections, l’ANSM rapporte qu’il y a 5693 effets secondaires enregistrés. Il s’agit notamment des syndromes grippaux qui e manifestent à travers des fièvres élevées, des courbatures et des céphalées.
Mais le cas critique est la thrombose. C’est l’effet le plus inquiétant. Il est apparu déjà chez les personnes ayant reçu les premières doses de ce vaccin. Des démentis formels de la part des autorités gouvernementales semblent apaiser les ardeurs.
Mais les révélations des personnes ayant été vaccinées plongent la population dans le contraste. Des morts intervenus à la suite de la vaccination contre le covid-19 sont venus compliquer les données.
Des témoignages fusent de partout, ce qui avait obligé le gouvernement à suspendre le vaccin pendant une période donnée avant de reprendre.
Ce qu’il faut retenir, c’est qu’entre 2 maux, il faut choisir le moindre. Ce qui signifie qu’il vaut mieux de se vacciner que de rester exposé à une attaque éventuelle.